Arrivés à l’Icam (Institut Catholique d’Arts et Métiers) de Toulouse, nous avons retrouvé une quarantaine de groupes de 1ères S provenant de lycées de la région : Le Caousou, Saint Joseph, Fermat, Bellevue et Blagnac, etc. Chaque groupe passait à huis-clos devant un jury composé de deux ingénieurs et professeurs de l’Icam. Notre présentation s’est bien passée. Les questions du jury ont essentiellement tourné autour de notre conclusion concernant les matériaux hydrophobes de demain.
Parmi les travaux des autres élèves, certains remettaient en cause quelques théories de Newton, d’autres avaient inventé un système pour stopper les trains trop rapides dans les courbes. D’autres ont fabriqué une imprimante consommant moins d’encre, avaient étudié le cancer du sein… Bref, des choses bien plus poussées que : « Est-ce que la pluie mouille ? » Nous avons visité les locaux de l’Icam et rencontré plusieurs professeurs et étudiants, qui nous ont parlé du métier d’ingénieur.
Bonne chance à tous pour l’année prochaine.
Pendant le palmarès, nous entendons que la deuxième place est attribuée à deux lycées ex-aequo : Le Caousou, pour ses travaux sur « Les plantes bioluminescentes pourraient-elles aider l’éclairage public ? » et… au lycée Pierre-Marie Théas de Montauban pour « Trempés jusqu’aux os, le caractère mouillant de la pluie ». La première place a été attribuée au lycée le Ferradou de Blagnac pour sa problématique : « Comment optimiser un avion en papier pour que la durée de son vol et la distance parcourue soit maximale ? ».
