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En arts visuels (enseignement d’exploration), les lycéens ont adapté des lettres de Poilus  de la Grande Guerre en bande-dessinée, dans le cadre du centenaire de la Première Guerre mondiale. Cette première pratique (abordant les échelles de plans et le point de vue) leur a permis de traduire un récit en images, avant d’aborder l’analyse de film et la réalisation d’un plan-séquence d’un extrait de scénario, mettant en application les différents mouvements de caméra.
Nous vous présentons quelques-unes de leurs productions.

  • Institut Familial Théas

Mardi 31 mars 2015, au collège, 520 élèves de la 6ème à la 3ème se sont mobilisés pour participer au bol de riz.

Sur la base du volontariat, et pour le prix d’un repas normal, le repas des collégiens était composé de riz (à volonté) et d’une pomme.

La classe de 3°3 de Monsieur Vaissière a organisé cet acte de solidarité en période de Carême pour aider nos Ursulines à agrandir l’école du Sénégal que nous avons participé à construire l’année dernière.

Bravo et merci à chacun de vous.

Soyons des bâtisseurs de l’avenir

Lors des championnats académiques de boxe française-savate, à Toulouse, mercredi 11 mars, les équipes Junior et Cadet du lycée ont décroché chacune la place de vice-champion d’académie.
Une place qui, si elle n’est pas qualificative pour les championnats de France, conforte toutefois la place du lycée Théas en tant qu’équipe solidement implantée dans le paysage pugilistique de la région. La boxe française-savate, une boxe pieds-poings redoutable et élégante, est en effet une spécialité du lycée Pierre-Marie Théas depuis quelques années.
Bravo donc aux cadets Abdou, Carla, Guillaume, Laura et Maxime ainsi qu’aux juniors Abel, Amélie, Antonin, Jean-Etienne et Noëlie et bien sûr à leur entraîneur Nicolas Jousseaume.

 

Lors du festival Lettres d’Automne 2014, les élèves de 5°2 ont rencontré Agnès Domergue, qui vient de publier son dernier livre : « Autrefois l’Olympe : Mythes en haïku”.
Nous vous proposons de découvrir leur rencontre à travers les écrits croisés d’Ava, Amélie et Julia, et à travers les haïkus et les illustrations des poètes-dessinateurs de 5°1 et de 5°2.

En réalité Agnès Domergue n’est pas un écrivain, c’est une musicienne.
Agnès est d’origine coréenne, le pays du Matin calme. Adoptée en France, elle ne recherche pas ses parents biologiques, car ses “vrais parents” sont, pour elle, ceux qui l’ont élevée.
Son parcours musical est classique.
Elle pratique la flûte jusqu’à l’âge de douze ans, lorsqu’elle est contrainte de porter un appareil dentaire. Ne pouvant plus souffler aisément dans l’instrument, on lui propose de faire de l’alto, en guise de « rechange ». Elle est vite fascinée par cette nouvelle activité et continue, remplaçant la flute par l’alto.
Elle passe le bac puis consacre ses études à la musique. Sa famille l’a beaucoup soutenue dans ses projets. Elle devient donc musicienne et professeur d’alto au conservatoire de Paris. Il lui arrive de jouer régulièrement dans des orchestres.
Ce n’est que depuis quatre ans qu’elle a commencé à écrire et à illustrer des livres.

Agnès n’aime pas écrire des romans. Elle préfère écrire des histoires pour les enfants. En fait, elle écrit pour elle, et si ça lui plaît, ses livres plairont à tout le monde, petits comme grands. Elle aime les “polars”. Elle écrit aussi des haïkus.
Les haïkus sont des petits poèmes japonais qui évoquent la nature ou les saisons, composés de dix-sept syllabes. Elle peut mettre cinq minutes comme quinze jours à les écrire. Ses haïkus ressemblent à de petites énigmes ou des devinettes.

Pour finir notre rencontre, nous avons créé tous ensemble un haïku sur le cyclope que combat Ulysse sur le chemin de son retour.

Œil pour œil obscur
L’iris disparut dans l’antre
Regard enivré

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